La mise en place d’un contrôle technique des motos, que l’Union européenne veut généraliser à tous ses Etats membres, a été reportée à 2022. Avec des possibilités de dérogation.
Ouf ! Le contrôle technique pour tous les deux-roues motorisés, que l’Union envisageait à partir de 2016, ne sera pas d’actualité avant 2022.
Statuant leur politique d’harmonisation de ce contrôle technique, Commission européenne, Parlement européen et Conseil des ministres des transports ont décidé de la repousser à cette échéance, et en l’assortissant de possibilités de dérogation.
La (bonne) nouvelle a été annoncée par la présidence lituanienne de l’Union européenne sur son site internet : « Les motos seront soumises à un contrôle technique périodique à partir de 2022. Toutefois, les États membres peuvent exclure ces véhicules des tests s’ils présentent des mesures de sécurité routière de remplacement efficaces, en tenant compte notamment des statistiques concernant la sécurité routière sur les cinq dernières années ». La France est dans ce cas !
La Fédération française des motards en colère s’est immédiatement félicitée de cette décision : « Pour la FFMC, qui suit avec ténacité ce dossier depuis 18 mois, ce compromis obtenu de haute lutte est une reconnaissance implicite de l’absence de données objectives sur l’utilité d’un contrôle périodique de l’état des véhicules pour les deux-roues motorisés, et elle salue les efforts du ministère des Transports français à défendre leurs utilisateurs ».
La FFMC dénonce toutefois « à nouveau la puissance du lobbying des multinationales du contrôle technique, Dekra en tête, qui table sur la réglementation européenne pour lui ouvrir de nouveau marchés ».
Depuis 2012, le Sénat et l’Assemblée Nationale français s’étaient déjà montrés défavorables au contrôle technique pour les deux-roues.
Ouf ! Le contrôle technique pour tous les deux-roues motorisés, que l’Union envisageait à partir de 2016, ne sera pas d’actualité avant 2022.
Statuant leur politique d’harmonisation de ce contrôle technique, Commission européenne, Parlement européen et Conseil des ministres des transports ont décidé de la repousser à cette échéance, et en l’assortissant de possibilités de dérogation.
La (bonne) nouvelle a été annoncée par la présidence lituanienne de l’Union européenne sur son site internet : « Les motos seront soumises à un contrôle technique périodique à partir de 2022. Toutefois, les États membres peuvent exclure ces véhicules des tests s’ils présentent des mesures de sécurité routière de remplacement efficaces, en tenant compte notamment des statistiques concernant la sécurité routière sur les cinq dernières années ». La France est dans ce cas !
La Fédération française des motards en colère s’est immédiatement félicitée de cette décision : « Pour la FFMC, qui suit avec ténacité ce dossier depuis 18 mois, ce compromis obtenu de haute lutte est une reconnaissance implicite de l’absence de données objectives sur l’utilité d’un contrôle périodique de l’état des véhicules pour les deux-roues motorisés, et elle salue les efforts du ministère des Transports français à défendre leurs utilisateurs ».
La FFMC dénonce toutefois « à nouveau la puissance du lobbying des multinationales du contrôle technique, Dekra en tête, qui table sur la réglementation européenne pour lui ouvrir de nouveau marchés ».
Depuis 2012, le Sénat et l’Assemblée Nationale français s’étaient déjà montrés défavorables au contrôle technique pour les deux-roues.